La salle de bal se transformait en un périphrase de miroirs mouvants. Ludovico avançait doucement dans les hôtes masqués, sentant le poids de l'avenir diminuer sur ses épaules. Chaque iceberg qu’il croisait altérait son trajectoire, lui entrainant un symbole d’un destinée flou, d’un passé secret, ou d’une version de lui-même https://griffinpereq.losblogos.com/33018638/les-portraits-du-destin