Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son tic, attendait que l’obsidienne parle à présent. La joyau noire semblait absorber l'éclairage sélénique, vibrer sous la pression du vent, et voire, sans aviser, elle résonnait de cette voix surannée que https://marcousmhz.ziblogs.com/34008781/les-traces-effacées