Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les transitaires de Makoko tels que des astres silencieux. Le quartier, suspendu entre orbe et lagune, vibrait d’une envie dense et souterraine. Abeni, elle, restait invariable par-dessous sa toile, les yeux rivés sur sa toiture. Chaque matin, évident que https://dominickrskzo.widblog.com/88951048/le-marché-des-éloquence