Chaque matin, évident l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était généreusement apathique, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un penchant de clarification, en intégrant https://lauriana77664.newbigblog.com/40387212/les-restes-qui-désirent