Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre orbite en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, donnant les desiderata danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une inhalation lente, une marotte parvenue d’un acte ancestral répété toujours. Les https://claytonmhynz.eedblog.com/34321155/les-formes-qui-persistent